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Purée de patates douces sans beurre ni gluten

Préparation : 15/20 mn – Cuisson : 20 mn – Repos : –

Ingrédients pour 4 personnes

 

  • 2 à 4 patates douces
  • 5 cuillères à soupe d’huile d’olive bio Segermes à la clémentine cassar
  • Sel
  • Poivre gris moulu
  • Option : cube de bouillon de légumes à rajouter dans l’eau froide de cuisson

Préparation

  • Epluchez les patates douces
  • Rincez-les sous un filet d’eau
  • Coupez-les ensuite en petits cubes
  • Faites cuire 15 mn dans un faitout : les patates doivent être recouvertes d’eau froide
  • Portez à ébullition
  • Vérifiez la cuisson avec la pointe d’un couteau
  • Égouttez
  • Ecrasez en purée à la fourchette ou au mixer selon la consistance désirée
  • Salez poivrez
  • Ajoutez l’huile d’olive bio pressée à la clémentine cassar Segermes au moment de servir et dégustez tiède

Nutrition

L’ajout de l’huile permet l’assimilation du beta carotène en plus de donner un goût original à cette purée sans beurre

 

 

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Crédit photo : @ysabellelevasseur

 

Le kaki : nutrition

Le kaki est un fruit méditerranéen fragile à consommer dès qu’il est mur entre octobre et janvier pour sa richesse en fibres, minéraux et des pigments caroténoïdes (β-carotène, le lycopène, l’ester d’acide monomyristique de β-cryptoxanthine, l’ester d’acide di-myristique de zéaxanthine et l’acide oléanolique)(au pouvoir antioxydant.

 

HISTOIRE – BOTANIQUE

  • Plusieurs variétés existent le kaki-pomme (le Fuyu et le Sharon) et le kaki plutôt astringent.
  • A choisir rouge foncé pour le kaki astringent dont la peau fine est à manipuler avec précaution : se conserve 2 jours maximum.
  • Le kaki-pomme se conserve plus longtemps ( 6 jours) et sa peau doit être lisse et non abîmée.

 

NUTRITION* pour 100g

  • Un fruit pèse entre 150 et 430 g !
  • A partir de 12 mois
  • source de vitamine C : 36.7 mg
  • source de fibres : 3.7 g
  • source de manganèse : 0.06 mg
  • source de vitamine B1 : 0.26 mg
  • 67.7 calories
  • 17.1 g glucides
  • Potassium 259 mg
  • Calcium  22,5 mg
  • Beta-carotène 253 µg
  • Fer  1,33 mg

 

RECETTES

 Smoothie “bonne mine” kaki clémentine

 

 

* Ciqual 2016

Velouté épicé de patates douces

Ingrédients pour  6 personnes

Préparation : 1h – Cuisson : 40 mn

  • 1.5 cuillères à soupe de cannelle en poudre
    1.5 cuillères à soupe de cardamome en poudre
    50 cl de lait de coco
    2 blancs de poireaux bio
    2 carottes bio
    2 cuillères à soupe d’huile de coco désodorisée bio Vigean
    1 cuillères à soupe de gingembre bio frais râpé
    1 cuillère à soupe de graines de courges
    1 cuillère à soupe de graines de tournesol
    3 cuillères à soupe de noix de cajou
    375 g de patate douce
    1 pincée de sel
    2 cuillères à soupe d’huile de colza bio première pression à froid Vigean

Préparation

  • Allumer le four à 160°C
  • Éplucher la patate douce et couper finement 24 tranches à l’économe
  • Huiler les tranches et les mettre sur une plaque recouverte de papier sulfurisé avec les noix de cajou. Enfourner pour 40mn de cuisson. Retourner à mi-cuisson.
  • Pendant ce temps, couper le reste de la patate douce en cubes et les couvrir avec de l’eau, les carottes en cubes et les blancs de poireaux
  • Cuire pendant 20 mn, jusqu’à ce que les cubes soient bien tendres
  • Râper le gingembre
  • Lorsque les cubes de patate douce sont cuits, mettre les légumes dans un blender.
  • Ajouter le lait de coco, l’huile de colza, les épices, et 5 cl d’eau de cuisson. Mixer. Si la texture est trop épaisse, ajouter de l’eau de cuisson selon la consistance voulue
  • Ajouter les chips de patate douce, des noix de cajou et des graines de courges et de tournesol

Nutrition

Du bêtacarotène et des fibres pour un plat qui pourrait devenir complet en ajoutant des céréales et des légumineuses ou un peu de crevettes.
Crédit photo : Pixabay

Beurre de patate douce coco

Ingrédients pour 6 personnes

  • 400g de patates douces bio épluchées
  • 50g d’huile de coco
  • 2 cm de gousse de vanille fraîche
  • décoration : cive, ciboulette ou épinard
  • sel, poivre
  • 1 cuillères à café de curcuma

 

Préparation

  • Fendez la gousse de vanille et grattez-la : réservez les grains.
  • Dans une casserole remplie d’eau, ajoutez les gousses de vanille grattée et faîtes cuire les patates douces coupées en petits morceaux (pour réduire le temps de cuisson) durant 12 à 15 mn selon la grosseur des morceaux.
  • Enlevez les gousses de vanille, égouttez légèrement et dans un mixeur, ajouter l’huile de coco et les grains de vanille, curcuma, sel et poivre.
  • Placez dans un saladier et placez au frais afin que le beurre durcisse
  • Décorez avec des cives ou des cébètes ou des petits morceaux de poireaux

Astuce

Cette recette se réalise idéalement avec des restes de patates douces et de poireaux avec un peu d’huile de coco

Nutrition

  • attention, l’huile de coco est riche en acides gras saturés : ne pas en abuser !
  • la patate douce cuite est parmi les féculents les plus riches en bêtacarotène utile pour la vision
  • la patate douce est un féculent au même titre que la pomme de terre : à prendre en compte dans ses apports quotidiens
  • le curcuma a des vertus anti-inflammatoires reconnues dont l’effet est potentialisé par la pipérine du poivre

 

Crédit photo : Pixabay

 

L’abricot tout beau et tout bon côté nutrition

Origine

  • L’abricotier (Prunus armeniaca L.) appartient à la famille des Rosaceae et à la sous-famille des Prunoideae
  • Originaire des montagnes de Tien-Shan, en Asie Centrale. Il est présent sur les 5 continents, mais plus de 50 % de la production mondiale d’abricots est réalisée dans la région Méditerranéenne
  • L’abricotier se développe idéalement dans des climats arides à tempérés et se caractérise par une variété extensible liée aux besoins écologiques.
  • Lorsqu’il atteint son degré optimal de maturité, l’abricot se présente comme un fruit d’une belle couleur orangée, légèrement juteux et bien tendre.
  • Le fruit est apprécié par les consommateurs pour ses caractéristiques gustatives, sucrées et juteuses, qui sont fortement liées à la variété et au moment de la récolte.

 Côté nutrition

Pour 100g d’abricots consommés (Ciqual 2013)

  • ž   Calories (kcal pour 100 g)              53 calories
  • ž   Eau                                                           86 g
  • ž   Protides (g pour 100 g)                  0,89 g
  • ž   Glucides (g pour 100 g)                  9.01 g
  • ž   Lipides (g pour 100 g)                    0,20 g
  • ž   Fibres                                                     1.7 g
  • ž   Vitamine C (mg pour 100 g)          5.45
  • ž   Vitamine E (mg pour 100 g)           0.61
  • ž   Vitamine B9 (µg pour 100 g)           6.2
  • ž   Potassium (mg pour 100 g)          237
  • ž   Calcium (mg pour 100 g)                15.6
  • ž   Magnésium (mg pour 100g)           8.67
  • ž   Bêta-carotène (µg pour 100 g)       42
  • ž   Fer (mg pour 100 g)                          0,32

Atouts nutritionnels

  • Riche en vitamine A (car 100 g d’abricots apportent plus de 30 % des VNR). Le bêta-carotène est un précurseur de la vitamine A (provitamine A) qui a la capacité de se transformer en vitamine A dans l’organisme. L’abricot est riche en vitamine A, famille des caroténoïdes. Sa teneur se situant aux environs de 272 µg pour 100 g contre 42 µg pour l’orange et 1200 µg pour la carotte. Le contenu total en caroténoïdes de la pelure des abricots est de 2 à 3 fois plus élevé que celui de la chair.
  • L’abricot contient un nombre de glucides se situant dans la moyenne des fruits frais: 9g/100 g environ. Ce sont essentiellement du saccharose, du glucose, du sorbitol et du fructose-sorbitol
  • La vitamine C peut varier au sein des abricots mais a une teneur moyenne de 5,4 mg, ce qui est comparable aux teneurs de la poire (5,3 mg) mais reste très inférieur à la teneur moyenne des fruits qui se situe aux alentours de 22,5 mg.
  • L’abricot est l’un des fruits les plus riches en minéraux et oligo-éléments.
  • Sa teneur en potassium est très intéressante puisqu’elle est de 237 mg pour 100 g se situant un peu après la banane et le cassis.
  • L’abricot est peu calorique et une portion de fruit représente 3 à 4 abricots frais

 

 

Sources : Ciqual, Interfel

Crédit photo : Pixabay

Qui dit oui au kiwi ?

ORIGINE : les kiwis sont originaires de Chine. Là-bas, on en trouve de toutes sortes. Les plus petits ont la grosseur d’un raisin. Ils prennent aussi différentes couleurs – jaune, orange, rouge, vert. Quant à la peau, lisse, velue ou couverte d’un fin duvet qui s’enlève par simple frottement. Aujourd’hui, le kiwi est cultivé en de nombreux endroits du globe, les principaux pays producteurs étant l’Italie, la Nouvelle-Zélande, la France, la Grèce, l’Australie, les États-Unis, le Chili et le Japon. Étant donné qu’il se conserve longtemps après la récolte et qu’il est produit dans les deux hémisphères, on le trouve pratiquement à longueur d’année.

SAISON : disponible toute l’année mais entre décembre et avril ce sont les meilleurs mois pour en consommer. Les importations de kiwi sont majoritairement concentrées pendant la période de contre-saison (mai à novembre).

MODE DE CULTURE : il ne craint pas les insectes, ni les « champignons ». Il lui faut de l’eau, et le protéger du vent. C’est à l’origine un fruit de sous-bois qui aime les situations abritées. Un climat chaud et humide l’été mais froid l’hiver lui convient. On peut certes voir le kiwi comme un fruit exotique, parce qu’il vient d’ailleurs, mais ce n’est pas un fruit tropical !

VALEURS NUTRITIONNELLES MOYENNES ( Pour 1 kiwi de 100g)

  • Energie                             57 calories
  • Eau                                      84%
  • Protéines                          1,1 g
  • Glucides                            9,37 g dont 9,1 g de sucre
  • Lipides                               0,27 g
  • Fibres                                 2,40 g
  • Bétacarotène                  44,5 microgrammes
  • Vitamine C                       92.7 mg
  • Vitamine B9                    36,5 microgrammes
  • Vitamine E                       1,2 mg
  • Phosphore                        47,1 mg
  • Magnésium                      12,2 mg
  • Potassium                         270 mg
  • Calcium                              26,60 mg

BIENFAITS NUTRITIONNELS :

  • Le kiwi est l’un des fruits les plus riches en vitamine C. Avec un seul kiwi (d’un poids moyen de 110 à 120 g, soit 100 g épluché), vous couvrez presque la totalité de l’Apport Nutritionnel Conseillé en vitamine C (ANC) chaque jour.
  • Le kiwi fournit de la vitamine E  car  nous consommons le fruit entier avec sa pulpe et ses petites graines dans lesquelles sont concentrées les lipides et la vitamine E liposoluble. La vitamine E (nom générique donné aux tocophérols actifs) est une vitamine  qui joue un rôle protecteur pour les membranes cellulaires en les protégeant de l’oxydation par les radicaux libres.
  • Le kiwi apporte du bétacarotène (50 mg aux 100g) et des vitamines du groupe B. Il fournit ainsi un complément non négligeable de vitamine B6 ou pyridoxine (qui joue un rôle important dans la synthèse des neuro-transmetteurs) et de vitamine B9 ou acide folique.

MODE DE PRÉPARATION : la chair onctueuse et parfumée est acidulée et rafraîchissante. Elle s’adapte bien à la nouvelle cuisine, aux salades de fruits, tartes, granités,  smoothies et soupes de fruits. Eviter de faire cuire le  kiwi afin de conserver ses vitamines, sa couleur et sa saveur délicate.

CONSERVATION : acheté ferme, le kiwi se conserve à température ambiante. C’est un fruit climatérique (qui continue à mûrir après récolte) Le placer dans une coupe, à côté de fruits tels que les bananes ou les pommes peut l’aider à mûrir mais vous pouvez aussi l’envelopper dans un sac en papier. Au réfrigérateur, le kiwi mûr se conservera plusieurs jours et non mûr, 2 ou 3 semaines dans le bas à fruits et légumes.

RECETTE :

tarte rapide kiwi et crème au citron et amande

 

 

 


        

La mangue, symbole de la royauté en Inde et riche en provitamine A

Origine

  • Mangifera indica :fruit tropical du manguier, grand arbre de la famille des Anacardiacées, originaire de l’Inde, où il pousse encore à l’état sauvage.
  • Arrondi ou ovale, ce juteux fruit se caractérise par sa peau dure et sa chair orangée et délicieusement fruitée et son noyau aplati. Elle pèse entre 200 g et 1 kg.
  • On tire de l’amande du noyau une huile comestible.
  • Plus de 1000 variétés de mangues mais seule une petite dizaine est commercialisée.
  • L’Inde, le 1er premier producteur mondial de mangues : l’Inde.
  • C’est le fruit tropical le plus consommé au monde après la banane.

Saison

  • La mangue fraîche est disponible pratiquement à l’année.
  • Les pays de l’hémisphère sud approvisionnent le marché d’octobre à mars, tandis que ceux de l’hémisphère nord le font d’avril à octobre.
  • Janvier, février et mars elle serait la plus savoureuse. Une mangue bien mûre dégage une riche odeur et sa peau cède légèrement sous la pression. Celle-ci devrait être lisse et sans meurtrissures. Attention, il ne faut pas se fier à sa couleur ni à son apparence : il s’agit d’une peau épaisse qui peut évoluer du vert tendre au rose sans que cela n’influence sa maturité. Il faut simplement vérifier qu’elle n’est pas tâchée de noir ni abîmée.

Côté Nutrition

Le tableau de composition moyenne, pour 100g net.    (Ciqual 2013)

  • Eau (g) 83
  • Protéines (g) 0.6
  • Lipides (g) 0.1
  • Glucides (g) 14.3
  • Fibres (g) 1.9
  • Energie (KJ) 250.8 – Energie (Kcal) 60
  • Calcium 20 mg
  • Magnésium 9 mg
  • Fer 1.2 mg
  • Sodium 2 mg
  • Phosphore 22 mg
  • Vitamine C 44 mg
  • Provitamine A 3 mg
  • Vitamine PP 0.4 mg
  • Vitamine E 1.8 mg

Polyphénols

  • La mangue, de même que la goyave et le litchi, se démarque grandement des autres fruits tropicaux par son contenu élevé en polyphénols (ou composés phénoliques). Les composés phénoliques se retrouvent dans les aliments d’origine végétale.
  • Leur capacité antioxydante protégerait les cellules du corps des dommages causés par les radicaux libres. Ils diminueraient le risque d’apparition de plusieurs maladies. Leur abondance et leur composition diffèrent selon les variétés.
  • Le principal polyphénol qu’on retrouve dans une mangue mûre est l’acide gallique. La mangue contient également de la mangiférine et des gallotanins ainsi que des tanins. Ces 3 composés seraient toutefois présents en proportion beaucoup plus importante dans le noyau et la pelure du fruit. La mangiférine a été étudiée principalement à partir d’extraits de l’écorce du manguier. Des études lui attribuent des vertus bénéfiques contre le diabète, l’inflammation, le stress oxydatif et l’hypercholestérolémie. Cependant, la mangue renfermerait 400 fois moins de mangiférine que l’écorce de l’arbre, ce qui n’est pas suffisant pour engendrer les effets observés.

Caroténoïdes

  • Les principaux caroténoïdes de la mangue sont le bêta-carotène et la violaxanthine. Ces pigments aux propriétés antioxydantes confèrent une couleur rouge orangé aux aliments qui en contiennent une grande quantité, comme la mangue. Dans certaines variétés de mangues, le bêta-carotène, compterait pour de 20 % à presque 100 % des caroténoïdes totaux. Le bêta-carotène est un précurseur important de la vitamine A dans l’organisme. Cependant, les différentes variétés de mangue de même que le stade de mûrissement influencent grandement les quantités de ces caroténoïdes.
  • Une étude a démontré que la mangue mûre aurait une activité antioxydante plus élevée que le fruit non mûr.
  • La mangue contiendrait également d’autres types de caroténoïdes, comme la bêta-cryptoxanthine, mais en moindre quantité.

Fibres solubles

  • La partie comestible de la mangue contient des fibres, dont la moitié sont des fibres solubles. Leur proportion tend à augmenter avec le mûrissement du fruit.
  • Les fibres solubles contribuent à diminuer les risques de maladies cardiovasculaires grâce à leur capacité à réduire le cholestérol sanguin.
  • La majorité des fibres solubles de la mangue se présenteraient sous forme de pectine en quantité comparable à celle de la pomme ou de la banane, 2 fruits reconnus pour leur teneur élevée en pectine.

Portion
100g de mangue crue représente environ ½  fruit et correspond à une portion (100 à 180 g).

Conservation

  • Les mangues sont généralement cueillies « vert mature ». Il faudra alors laisser les fruits à température ambiante quelques jours pour qu’ils achèvent de mûrir.
  • Pour la conserver entière, la laisser dans un endroit frais mais éviter le réfrigérateur qui l’empêche de mûrir et de développer ses saveurs (conservation au réfrigérateur : quelques jours seulement, car le froid abîme la mangue).
  • Épluchée, de 1 à 2 jours dans un récipient hermétique au frigo ou congeler, au choix.
  • Astuce pour accélérer le mûrissement : mettez la mangue dans un sac de papier avec une pomme (la pomme produit de l’éthylène, gaz qui a pour effet de faire mûrir les autres fruits).
  • Bien décontaminer le fruit car il vient de loin et à subit de nombreux transport. Cependant, il ne doit pas consister en un trempage excessif car la plupart des micronutriments (vitamines et minéraux) sont hydrosolubles.

Recettes

 

Source : Ciqual, Interfel
Crédit photo : Pixabay